Chez Nous - 14 gennaio 2025, 08:00

Plus de matraques, moins de faiblesses

Più manganelli meno debolezze

Plus de matraques, moins de faiblesses

In un paese che si vanta di essere una democrazia, il diritto di manifestare è sacrosanto. Ma il diritto di manifestare non può e non deve trasformarsi in un alibi per la violenza e la distruzione. L'Italia sta assistendo a un fenomeno preoccupante: gruppi di antagonisti e anarchici che, sotto la maschera della protesta, si dedicano a spaccare vetrine, incendiare auto, danneggiare beni pubblici e privati, e persino a ferire le forze dell'ordine. Questo non è dissenso, questo è crimine, ed è ora che il governo e le forze dell'ordine facciano il loro dovere con più determinazione.

Ciò che accade nelle piazze italiane non è il frutto di una sana espressione democratica, ma di una spirale di violenza premeditata, organizzata e strumentalizzata da chi non ha intenzione di proporre soluzioni, ma solo di distruggere e destabilizzare. Non si tratta di cittadini che esprimono pacificamente il loro malcontento; si tratta di bande di facinorosi che non esitano a mettere a ferro e fuoco le città, sfidando l’autorità, la legge e ogni forma di civile convivenza.

Eppure, nonostante l’evidente escalation di violenza, ci troviamo di fronte a un governo che non sembra sapere come affrontare questa sfida. Mentre il Paese è ostaggio di chi approfitta della scusa della protesta per seminare il caos, il governo sembra concentrato più a limitare il diritto di sciopero dei lavoratori che a garantire la sicurezza pubblica e l’ordine nelle città. Questa indecisione è pericolosa. Se il diritto di sciopero deve essere tutelato, lo stesso deve valere per il diritto alla sicurezza e alla tranquillità di tutti i cittadini. Non possiamo più tollerare che manifestazioni che dovrebbero essere legittime si trasformino in atti di violenza con danni irreparabili.

Le forze dell’ordine, che ogni giorno rischiano la vita per garantire l’incolumità di tutti, non devono essere lasciate sole di fronte a questi criminali. Non possiamo più permettere che agenti della polizia vengano feriti, che le vetrine vengano infrante e le auto distrutte sotto l'occhio indifferente di un governo che non sa prendere posizione. È ora di dire basta. Le forze dell'ordine devono essere supportate, non solo con le parole, ma con le risorse e con un chiaro mandato di intervenire con forza per garantire l'ordine pubblico.

La risposta a questi gruppi violenti non può più essere un trattamento “morbido” o un’ennesima ricerca di compromessi. Non si tratta di "dialogare" con chi, in buona sostanza, non ha alcun interesse al dialogo, ma solo a rovesciare l’ordine costituito. Serve una reazione forte, tempestiva e senza esitazioni. Serve che il governo dia pieno supporto a chi difende la legge, senza più titubanze. Il paese ha bisogno di vedere che lo Stato è in grado di reagire con fermezza, prima che la violenza si radichi nel tessuto sociale.

La democrazia ha bisogno di essere protetta, non solo dai manifestanti pacifici che esercitano il proprio diritto di esprimersi, ma anche dalla violenza di chi cerca di distruggere le istituzioni e il buon vivere civile. Non possiamo più assistere impotenti a questo scempio, mentre chi si batte per il bene comune è lasciato a fronteggiare soli il caos. È ora di dire basta. Le forze dell'ordine hanno bisogno di strumenti, di risorse, di un governo che li supporti in modo deciso, non di un esecutivo che fatica a distinguere tra chi protesta legittimamente e chi usa la violenza per distruggere.

In un periodo in cui la sicurezza sembra essere diventata una questione secondaria, è fondamentale ricordare che la protezione del bene comune e della legge è il fondamento di ogni società che si definisca civile. Non possiamo più permettere che un manipolo di estremisti danneggi ciò che di buono abbiamo costruito. Più manganelli, meno indecisione: questo è ciò che serve.

Più manganelli meno debolezze

Dans un pays qui se targue d’être une démocratie, le droit de manifester est sacré. Mais ce droit ne doit en aucun cas être un prétexte à la violence et à la destruction. L'Italie assiste à un phénomène inquiétant : des groupes d'antagonistes et d'anarchistes qui, sous couvert de protestation, se consacrent à briser des vitrines, incendier des voitures, endommager des biens publics et privés, et même blesser les forces de l’ordre. Ce n’est pas de la dissidence, c’est du crime, et il est grand temps que le gouvernement et les forces de l’ordre fassent leur travail avec plus de détermination.

Ce qui se passe dans les rues italiennes n'est pas le fruit d'une saine expression démocratique, mais d'une spirale de violence préméditée, organisée et instrumentalisée par ceux qui n'ont pas l'intention de proposer des solutions, mais seulement de détruire et de déstabiliser. Il ne s'agit pas de citoyens qui expriment pacifiquement leur mécontentement ; ce sont des bandes de fauteurs de troubles qui n'hésitent pas à mettre les villes à feu et à sang, défiant l'autorité, la loi et toute forme de coexistence civile.

Pourtant, malgré l'escalade évidente de la violence, nous nous retrouvons face à un gouvernement qui semble ignorer comment faire face à ce défi. Alors que le pays est pris en otage par ceux qui profitent du prétexte de la protestation pour semer le chaos, le gouvernement semble plus préoccupé par la limitation du droit de grève des travailleurs que par la garantie de la sécurité publique et de l'ordre dans les villes. Cette indécision est dangereuse. Si le droit de grève doit être protégé, il en va de même pour le droit à la sécurité et à la tranquillité de tous les citoyens. Nous ne pouvons plus tolérer que des manifestations qui devraient être légitimes se transforment en actes de violence avec des dommages irréparables.

Les forces de l'ordre, qui risquent leur vie chaque jour pour garantir la sécurité de tous, ne doivent pas être laissées seules face à ces criminels. Il n’est plus acceptable que des agents de police soient blessés, que des vitrines soient brisées et que des voitures soient détruites sous l'œil indifférent d'un gouvernement qui peine à prendre position. Il est temps de dire stop. Les forces de l'ordre doivent être soutenues, non seulement par des paroles, mais par des ressources et par un mandat clair d’intervenir fermement pour garantir l'ordre public.

La réponse à ces groupes violents ne peut plus être une approche “douce” ou une énième recherche de compromis. Il ne s’agit pas de “dialoguer” avec ceux qui, en réalité, n’ont aucun intérêt au dialogue, mais uniquement à renverser l'ordre établi. Il faut une réaction forte, rapide et sans hésitation. Il faut que le gouvernement donne un plein soutien à ceux qui défendent la loi, sans plus de doutes. Le pays doit voir que l'État est capable de réagir fermement, avant que la violence ne s'enracine dans le tissu social.

La démocratie doit être protégée, non seulement par les manifestants pacifiques qui exercent leur droit d'expression, mais aussi par la violence de ceux qui cherchent à détruire les institutions et la coexistence civile. Nous ne pouvons plus assister, impuissants, à ce carnage, tandis que ceux qui luttent pour le bien commun sont laissés seuls à affronter le chaos. Il est temps de dire stop. Les forces de l'ordre ont besoin d'outils, de ressources, d’un gouvernement qui les soutienne de manière décisive, et non d'un exécutif qui peine à distinguer entre ceux qui protestent légitimement et ceux qui utilisent la violence pour détruire.

Dans une période où la sécurité semble être devenue une question secondaire, il est essentiel de rappeler que la protection du bien commun et de la loi est le fondement de toute société qui se dit civile. Nous ne pouvons plus permettre qu'une poignée d'extrémistes endommage ce que nous avons de bon. Plus de matraques, moins de faiblesses : c’est ce dont nous avons besoin.

 

 

piero.minuzzo@gmail.com

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