La recente dichiarazione di Donald Trump, che non ha escluso l'uso della forza per annettere la Groenlandia, ha sollevato più di una preoccupazione. La Groenlandia, come è noto, è un territorio danese, quindi parte integrante della Comunità Europea. Eppure, mentre il presidente americano lanciava queste inquietanti affermazioni, l'Europa ha preferito restare in silenzio. La domanda che sorge spontanea è: perché? Cosa sta accadendo dietro le quinte? La geopolitica mondiale sta cambiando, e l'assenza dell'Europa dalla discussione è un segnale preoccupante.
Non possiamo fare a meno di pensare che ci possa essere una sorta di accordo sotterraneo tra Trump e Putin. Entrambi, infatti, sembrano interessati a smembrare e riorganizzare i territori che possono portare vantaggi strategici, economici o politici. È un gioco di potere che potrebbe fare a meno dell'Europa, o peggio, ignorarla del tutto. La Groenlandia, con le sue risorse naturali e la sua posizione strategica, rappresenta un obiettivo troppo ghiotto per essere lasciato ai margini. E intanto, l'Europa assiste impotente, senza mai alzare la voce.
E se domani Trump, con la stessa indifferenza, dovesse puntare a territori più "vicini" alla nostra quotidianità, come il Vaticano o la Repubblica di San Marino? Un’ipotesi che, seppur surreale, non è poi così lontana nella logica di chi ha già dato segnali di voler ridisegnare l’ordine internazionale a colpi di annunci unilaterali. Cosa farebbe allora l'Italia, tra le mani della politica di Giorgia Meloni e Matteo Salvini? Chi difenderebbe la nostra sovranità se non l'Europa stessa, eppure l’Europa tace.
In questa situazione, ci si domanda dove siano le voci dell'opposizione politica. La sinistra, che si è sempre dichiarata pronta a combattere contro ogni forma di imperialismo, non ha avuto alcuna reazione. Forza Italia, che potrebbe essere considerata una forza di equilibrio, sembra aver abdicato anch'essa, ormai concentrata su dinamiche interne e lontana dalle grandi questioni internazionali. E mentre l'Italia appare divisa e debole, l'Europa sembra non accorgersi nemmeno della crescente aggressività delle grandi potenze.
Non c’è dubbio che il silenzio dell'Europa e dell'Italia di fronte a queste dichiarazioni sia preoccupante. Questo "non agire" potrebbe diventare un precedente pericoloso, in cui i confini e la sovranità dei piccoli stati europei, e non solo, potrebbero essere minacciati senza che l'Europa, nel suo complesso, faccia valere la propria influenza o autorità. Un passo indietro in una partita geopolitica che non si gioca solo tra Stati Uniti, Russia e Cina, ma che coinvolge in prima linea anche l’Europa, con tutto ciò che questo implica in termini di sicurezza, dignità e futuro.
L’Europa non può permettersi di restare passiva. L’Italia non può permettersi di restare inascoltata. La storia ci ha insegnato che quando i grandi attori internazionali avanzano senza contrasto, il rischio di vedere crollare equilibri e sovranità è reale. È ora che l'Europa si svegli. E l'Italia, a sua volta, deve cominciare a chiedersi quale ruolo vuole giocare in questo scenario. Perché, altrimenti, la prossima volta che Trump potrebbe puntare il dito su un altro obiettivo strategico, potrebbe essere troppo tardi per reagire.
Europa? Assente!
La récente déclaration de Donald Trump, qui n’a pas exclu l’utilisation de la force pour annexer le Groenland, a soulevé plus d’une inquiétude. Le Groenland, comme on le sait, est un territoire danois, donc une partie intégrante de la Communauté Européenne. Pourtant, alors que le président américain faisait ces affirmations inquiétantes, l’Europe a choisi de rester silencieuse. La question qui se pose spontanément est : pourquoi ? Que se passe-t-il dans les coulisses ? La géopolitique mondiale est en train de changer, et l’absence de l’Europe dans la discussion est un signal préoccupant.
On ne peut s’empêcher de penser qu’il pourrait exister un accord souterrain entre Trump et Poutine. Les deux semblent en effet intéressés à diviser et réorganiser les territoires qui peuvent offrir des avantages stratégiques, économiques ou politiques. C’est un jeu de pouvoir qui pourrait se passer de l’Europe, ou pire, l’ignorer complètement. Le Groenland, avec ses ressources naturelles et sa position stratégique, représente un objectif trop tentant pour être laissé de côté. Et pendant ce temps, l’Europe assiste, impuissante, sans jamais élever la voix.
Et si demain Trump, avec la même indifférence, décidait de viser des territoires plus « proches » de notre quotidien, comme le Vatican ou la République de Saint-Marin ? Une hypothèse qui, bien que surréaliste, n’est pas si éloignée dans la logique de ceux qui ont déjà donné des signaux de vouloir redessiner l’ordre international par des annonces unilatérales. Que ferait alors l’Italie, entre les mains de la politique de Giorgia Meloni et Matteo Salvini ? Qui défendrait notre souveraineté si ce n’est l’Europe elle-même, et pourtant, l’Europe se tait.
Dans cette situation, on se demande où sont les voix de l’opposition politique. La gauche, qui s’est toujours déclarée prête à lutter contre toute forme d’impérialisme, n’a eu aucune réaction. Forza Italia, qui pourrait être considérée comme une force d’équilibre, semble elle aussi avoir abdiqué, désormais concentrée sur des dynamiques internes et loin des grandes questions internationales. Et pendant que l’Italie semble divisée et faible, l’Europe semble ne même pas remarquer l’agressivité croissante des grandes puissances.
Il ne fait aucun doute que le silence de l’Europe et de l’Italie face à ces déclarations est préoccupant. Ce « non-agir » pourrait devenir un précédent dangereux, où les frontières et la souveraineté des petits États européens, et pas seulement, pourraient être menacées sans que l’Europe, dans son ensemble, ne fasse valoir son influence ou son autorité. Un pas en arrière dans un jeu géopolitique qui ne se joue pas seulement entre les États-Unis, la Russie et la Chine, mais qui concerne en première ligne aussi l’Europe, avec tout ce que cela implique en termes de sécurité, de dignité et de futur.
L’Europe ne peut pas se permettre de rester passive. L’Italie ne peut pas se permettre de rester inaudible. L’histoire nous a appris que lorsque les grands acteurs internationaux avancent sans opposition, le risque de voir s’effondrer les équilibres et les souverainetés est bien réel. Il est temps que l’Europe se réveille. Et l’Italie, à son tour, doit commencer à se demander quel rôle elle veut jouer dans ce scénario. Car, autrement, la prochaine fois que Trump pourrait pointer du doigt un autre objectif stratégique, il pourrait être trop tard pour réagir.